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Contextes et précisions


Contexte politique

L'histoire se passe, comme il l'est précisé à de nombreuses reprises, en République populaire de Pologne, dans les années 80. Le contexte politique ne correspond donc en rien à ce qu'on peut connaître aujourd'hui dans nos pays modernes, à nos communautés ouvertes et à nos nombreux partis politiques. Je vais vous faire le plaisir de mettre tous les termes compliqués au placard pour faciliter la compréhension de tous, mais si vous souhaitez d'avantage de précisions je vous invite à laisser un commentaire.

 

Le pays

La République populaire de Pologne est le résultat de la maîtrise communiste sur l'Europe de l'Est à la fin de la Seconde Guerre Mondiale. Cet état communiste, dirigé par le Parti ouvrier unifié polonais a existé officiellement de 1952 à 1989, bien qu'il ai été mis en place dès 1944 sous le nom de Rzeczpospolita Polska (République de Pologne), 1952 étant l'année où la nouvelle Constitution a été adoptée. La République populaire de Pologne rejoignis le Pacte de Varsovie en 1955, s'alignant ainsi avec tous les pays d'Europe de l'Est. Je passerais volontairement les détails de la mise en place du Communisme dans ce pays, ainsi que le début de la Guerre Froide. Tout ce dont vous aurez besoin de savoir, c'est que la situation politique ressemblait à celle de l'URSS, avec son lot de massacres, de soulèvements, de répression, d'espionnage, de rationnement, de pauvreté et de méfiance générale.

Concrètement, pour notre histoire, la Pologne subit l'influence directe du gouvernement de l'URSS. La présence du KGB et de l'Armée Rouge est donc "justifiée".

Il est aussi important de noter que la République populaire de Pologne a subit un affaiblissement à partir de 1979/1980, ce qui a valu la mise en place de la loi martiale et d'un couvre-feu à partir de 1981. Nous avons volontairement effacés tous les signes de révoltes et d'événements politiques majeurs de nos histoires, pour ne pas compliquer la lecture. A partir de 1985, la politique de Perestroika (en quelques sortes la politique de "décommunisation" du bloc soviétique) mené par Mikhaïl Gorbatchev permet aux pays d'Europe centrale et de l'Est de se débarrasser du joug communiste, ce qui offrit au peuple polonais plus de marge de manœuvre pour leurs manifestations. Le gouvernement de la République populaire de Pologne mène des pourparlers à partir de février 1989, et des élections législatives sont organisées le 4 juin de la même année, et remportée par le seul candidat encore autorisé, membre du Parti ouvrier unifié polonais. A partir d'automne 1989, le nouveau gouvernement polonais commence à effacer de la Constitution toute référence au rôle du parti communiste, puis à reprendre le nom de République de Pologne. Le 30 janvier 1990, le Parti ouvrier unifié polonais s'auto-dissout. Le président, privé de tout pouvoir, démissionne, et le 23 décembre 1990, Lech Walesa est élu président de la République, dans un scrutin tenu cette fois au suffrage universel.

 

Si vous souhaitez plus d'informations, de précisions ou si vous ne comprenez pas un élément, je vous invite à me demander par commentaire.

 

La mafia

Le rôle de la mafia durant l'occupation communiste reste assez sombre, du moment que l'appellation "mafia" est toute relative et attribuée de nos jours à la moindre organisation criminelle. Nous ne pouvons pas prouver qu'il y avait bien une mafia polonaise à cette époque dans cette région, le contexte mafieux réside donc uniquement dans notre imagination. Cela nous a permis de prendre quelques libertés vis-à-vis de ses points, il est donc très important de noter qu'aucun nom de mafia, de chefs, de titre de hiérarchie ou autres n'a été prouvé historiquement. Le choix de montrer une image de la mafia en soit assez "moderne" (telle qu'on pourrait l'imaginer de nos jours) est un choix de facilité. De la même manière, toutes les informations que nous avons trouver sur les mafias d'aujourd'hui ne sont pas estimés fiable à 100% ; contrairement à la mafia sicilienne, les mafias d'Europe de l'Est sont assez différentes, dont le système de hiérarchie et les objectifs ne sont pas standardisés et largement différents selon les familles. Nous avons donc choisis des rites, hiérarchies, traditions, objectifs et rivalités faciles et accessibles à tous, pour faciliter la lecture (et l'écriture). Gardez bien en tête que rien n'est prouvé dans le climat mafieux que nous vous porterons. Cependant, tout comme pour le climat politique, nous avons essayés d'insérer un maximum d'éléments avérés. Si vous n'arrivez pas à les différencier, n'hésitez pas à vous renseigner via commentaire, sur Internet ou auprès d'un historien.

 

PS : vous constaterez que le terme "mafia" n'est pas utilisé dans l'histoire. Le terme "mafijna" est simplement le terme spécifique à la  mafia polonaise (mafia en français = mafijna en polonais).

 


22/01/2014
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La mafia

(Cet article est en réaménagement)

Les méthodes, traditions et modes de fonctionnements de la mafia sont importants à comprendre pour mieux saisir l'histoire. Vous trouverez donc ici toutes les informations importantes à connaître.

Il est important de noter que, par soucis de précision et de clarté, les informations choisies dans l'histoire sont essentiellement tirées de la mafia sicilienne. Les informations qui suivent ne concernent historiquement en aucun cas les mafias polonaises.

 

1. Hiérarchie

La mafia de notre histoire sera donc une mafia organisée, principalement fondée sur le système basique de hiérarchie que chaque membre se doit de respecter :

Hierarchie mafia.jpg

 

Pour résumer cette image, le Boss (le Parrain) donne les objectifs et les ordres principaux au Sous-chef, qui se chargera de transmettre des ordres précis aux Capos qui enverront les Soldats (gros bras) faire la besogne. Ces derniers sont libres d'engager des associés qui pourront les aider à accomplir certaines missions. D'autres fois, les associés sont payés pour faire un boulot risqué dans lequel la famille ne veut pas être mêlée directement. Il faut savoir aussi que, contrairement à la pensée populaire, les associés sont les plus nombreux.

Le Consigliere, comme son nom l'indique, est chargé de conseiller le Parrain, de le prévenir en cas de conflits dans la famille, de l'aider à faire de lourds choix et sert aussi d'intermédiaire et de médiateur lors de conflits avec d'autres familles. Le Consigliere est un membre très respecté de la mafia (à peu près autant que le Parrain lui-même). Le statut de ce membre est assez complexe, puisque toutes les familles n'en possèdent pas un. C'est très souvent un avocat privé qui n'a pour seul client que le Parrain de la famille, et sert ainsi de conseiller juridique. C'est de cette manière que les têtes pensantes de la famille ne sont jamais impliquées directement, ce qui empêche la Justice de les condamner. Les deux seuls moyens utilisés pour faire condamner un Parrain est de faire infiltrer un indic dans la famille, ou de coincer un membre : monter des preuves contre lui, et lui proposer un marché. Soit il effectue sa peine (généralement très élevée, peine de mort ou à perpétuité), soit la police le "retourne" et il devient un indic. Ce côté du Consigliere sera mit de côté dans notre histoire, parce que la justice communiste ne permettait pas d'avoir un "avocat particulier".

 

2. But

Le but et le rôle de la mafia est bien trop souvent mal définie ou ignorée. Je tiens à insister là-dessus, non une vraie mafia ne se contente pas d'accomplir des crimes pour gagner de l'argent et non elle ne sert pas uniquement ses propres intérêts. Que se soit la mafia sicilienne ou slave, la mafia n'est pas une simple organisation criminelle d'envergure. Du moins ce n'est pas le vraie définition qu'on devrait en faire.

Revenons au départ : l'Italie à la fin du XIXe siècle (eh oui, un cour d'histoire !) subit une grande pauvreté. Je vous passerais le contexte précis, mais ce qu'il faut retenir c'est que riches comme pauvres s'appauvrissent. La valeur de la parole est alors agrandie, ici naît le premier principe de la mafia, et aujourd'hui le principal : onorata societa, la société d'honneur. La population, contrainte à l'errance, doit choisir un chemin moins "légal" pour s'en sortir. Les mafieux, riches citoyens, décident d'aider les "pauvres" dans un échange de services : faites ça et je vous donne de l'argent, ou un autre service. Avant de penser que ce n'est que du chantage, pensez avant tout que c'est de l'entraide. En aucun cas un mafiosi original ne sera arrogant ou égocentrique, mais il sera très populaire et apprécié de la population.

Voici le but de la mafia à son origine. Au fil du temps, la mafia est devenue une organisation criminelle plus ou moins d'envergure (bien qu'elle soit généralement très importante). Elle s'empare ou s'attribue une zone précise, et se doit de protéger tous les habitants dans cette zone. Ainsi, les conflits de voisinages, les vols, les meurtres ou tous les problèmes qu'on pourrait se poser dans une ville sont supprimés ou réglés par la mafia (si ce n'est pas elle l'origine des problèmes). Il est aussi fréquent qu'une famille mafieuse prenne parti dans la gestion d'une ville : gestion des déchets, docks, transports en commun, chantier de construction etc. ce qui leur permet de donner une bonne image de la famille et de "bloquer" la ville en cas d'arrestation des parrains. Les familles possèdent aussi un commerce, un bar ou un restaurant, pour blanchir l'argent qu'ils ont gagnés frauduleusement, et ce commerce leur servira parfois de QG. Dans notre histoire, la maison de Mikolaj fait office de QG et de point de ralliement.

Bien entendu, ceci est une définition basique. Il y quelques détails qui peuvent s'ajuster en fonction de la famille, bien qu'en général la police et les administrations sont soudoyées pour éviter les problèmes légaux.

L'entrée dans la mafia n'est en aucun cas obligatoire, et si une personne veut entrer dans la mafia, elle doit se prévaloir de racines siciliennes (ou russes, ou polonaises etc. en fonction de la mafia), faire preuve d'une grande efficacité et être digne de confiance.

On entend souvent dire que la mafia tue, pour une raison ou pour une autre. Encore une fois, c'est faux. La mafia préfère utiliser le chantage et la dissuasion plutôt que le meurtre. Bien entendu, la mafia ne se gênera pas pour tuer un ennemi embarrassant, un témoin trop bavard, un membre de la famille louche, un juge trop sévère ou un commandant de police trop curieux. La mafia ne tue pas de civils, c'est une règle. Quelqu'un doit mériter la mort pour mourir. Malheureusement, la plupart des mafias ou groupes criminels d'aujourd'hui ignorent et violent cette règle, jugée inutile ou trop ancienne pour s'adapter aux nouvelles habitudes criminelles.

 

3. Revenus

Bien entendu, comme toute organisation, une mafia a besoin de revenus. Pour cela, les têtes pensantes ont trouvés de nombreux moyens : jeux d'argent (casinos, bookmaking), proxénétisme, pornographie, racket, vente de cigarettes ou d'alcool en contrebande, immobilier, trafics d'arme, de drogue, d'organes, d'œuvres d'art ou d'êtres humains, gestion de la ville (cf plus haut).

En fonction de la position géographique de la mafia, elle se spécialisera dans une source de revenu (si la mafia se situe dans un quartier chic, elle se spécialisera dans les jeux d'argent, le proxénétisme, l'immobilier et le trafic de drogue), bien qu'en général une mafia utilise plusieurs sources de revenus.

Vous constaterez que toutes les sources de revenus ne sont pas illégaux. Bien qu'il y ai généralement des excès, les jeux d'argent, l'immobilier, la pornographie et la gestion de la ville permettent de faire gagner à la mafia de l'argent "propre", qu'ils n'auront pas besoin de blanchir. Cependant, c'est souvent dans ses activités légales que les autorités trouvent les points faibles de la famille, bien que généralement, dans une mafia organisée, le système "tortueux" est difficilement démêlé par les autorités (cf plus haut).

Comme dit plus haut, l'argent gagné illégalement est blanchit grâce à des bars ou à des restaurants que possèdent la mafia.

 

4. Dépenses

La mafia ne garde bien évidement pas tout l'argent gagné pour le partager entre les membres. Elle a aussi d'importantes sources de dépenses : bien entendu la rémunération des membres, les investissements dans les sources de revenus (construction de casinos, réparation de bâtiments endommagés, achat de terrains, achat des armes, de la drogue etc. pour la revendre avec une marge), rémunération d'associés qui aideront la mafia dans les "petits boulots" ou dans les affaires délicates qui ne doivent pas impliquer directement la mafia, achat de l'équipement pour les membres (armes, voitures, vêtements...).

En règle générale, toutes ses dépenses impliquent des revenus par la suite. Par exemple, une mafia achète 100kg de drogue à un prix de gros (1000€), soit 10€ le gramme, et sera revendu en petite quantité à 50€ le gramme. Soit une marge de 4000€ sur toute la cargaison. Une marge raisonnable, qui aura impliquée, en plus de l'achat de la drogue, quelques dépenses supplémentaires : éventuels déplacements, rémunération de sous-traitants etc.

Les revenus restants de la mafia, après toutes les dépenses, sera divisée inégalement entre les membres, en fonction de leur grade. Le parrain empoche généralement la plus grosse part, et le reste est partagée entre les différents membres.

 

5. Autres informations

La mafia sicilienne est très attachée à ses traditions. On a souvent pus voir de nombreux exemples lorsque, sous Mussolini, les familles mafieuses ont embarquées pour les Etats Unis pour éviter de se faire massacrer en Italie (Mussolini menait une politique anti-mafia très dure). Une fois les familles installées, on a pu voire des villes comme New York se faire partager par les immigrés siciliens.

Un exemple simple : Une ville. 3 familles mafieuses s'installent dans celle-ci. D'un commun accord, les familles se départagent la ville plus ou moins équitablement (suivant le pouvoir qu'a chacune des famille), et chacune se spécialisera dans un domaine (gestion de déchets, docks etc. comme cité plus haut), et placeront leur commerce dans un endroit stratégique dans la ville (proche des alliances et des terrains, loin des adversaires). Il se peut, par la suite, une fois que chaque famille est bien "installée", qu'un Grand Conseil soit mis en place. Celui-ci réunira chaque Parrain de chaque famille, et ceux-ci discuteront ensemble de la gestion de la ville, d'éventuels échanges commerciaux, d'accords de territoires entre autres, limitant ainsi les disputes entre familles qui aboutissent souvent à des guerres. Cependant, quand une ville est départagées entre 5, 6, 7, 8 familles voire plus, les conflits sont inévitables et fréquents.

Souvent, les familles mafieuses font du "business" avec d'autres groupes criminels d'autres origines ethniques (gangs noirs ou hispaniques, chinois etc.).

 

Chaque famille a ses réunions, en dehors d'un éventuel Grand Conseil, où chaque famille règlera ses problèmes internes ou fera entrer une nouvelle recrue dans la famille.

 

6. Mafias européennes

Comme il est dit dans l'introduction, les familles slaves et les familles italiennes ne se ressemblent généralement pas. Elles n'ont pas les mêmes origines, les mêmes systèmes de fonctionnements et les mêmes politiques de gestion. Ils n'ont en commun que le terme "mafia". Je ferais ici une brève description des mafia principales d'Europe de l'Est.

 

    a)  Mafia Russe

La mafia russe, aussi appelée Bratva (ou "mafia rouge") n'est pas une "mafia" à part entière, comme on pourrait l'entendre après avoir lu les informations plus haut. Comme je l'ai dit, le système mafieux russe n'est pas semblable à celui de la mafia sicilienne, puisqu'il change d'une famille à une autre. Le terme "mafia" est plutôt mal employé en Russie, puisqu'il s'agit plus de groupes criminels que de mafia à part entière (ils servent plus leurs intérêts que ceux de leurs compatriotes). De plus les Bratva sont apparues après ou peu avant la chute de l'URSS (1980/1995). On peut, à partir de là, comprendre qu'ils ne sont pas attachés à de quelconques traditions. L'emploi de l'appellation "mafia russe" dépend essentiellement du point de vue de votre interlocuteur. Pour ma part, je parlerais plus de Bravta, puisque le système attaché à la mafia est absent dans beaucoup de familles russes (hiérarchie, but, traditions, naissance, liens avec les autorités...).

Revenons-en aux faits. La Bravta russe accorde une grande importance aux tatouages. Chaque tatouage à sa définition, et un individu qui n'a aucun tatouage n'a aucune chance de rentrer dans une Bravta. Le système de hiérarchie dépend essentiellement des familles, en fonction de leur domaine d'activité. Certains copient purement et simplement le système italien (en prenant soin de changer les noms, bien entendu), d'autres s'en inspirent, d'autres encore s'inspirent du système de bureaucratie soviétique. Personne ne peut prétendre à dresser une liste, même approximative, du système de hiérarchie des Bravta. Les buts principaux de ces Bravta sont de servir leurs propres intérêt (en général). Ils se tournent souvent vers le racket, les trafics d'armes/drogues/êtres humains, la prostitution et la "gestion" immobilière (il faut ajouter à cela les activités illégales "communes" en Russie ou pour la mafia : blanchiment, marché noir, assassinat, enlèvement...)

 

    b)  Mafia Polonaise

 [partie en cour]

 


03/02/2014
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Les traditions/rituels

Au cours de nos histoires, nous utiliserons certaines traditions ou tes rituels de diverses origines (traditions polonaises, indiennes, mafieuses etc.), qui sont importantes à connaître pour comprendre pourquoi nos personnages réagissent d'une certaine manière ou d'une autre dans des situations où vous réagiriez à l'inverse, ou bien pourquoi les personnages font des actions apriori sans aucun sens. Nous ferons notre possible pour vous expliquer tout cela, bien qu'il puisse manquer certaines choses ou des imprécisions, nous vous invitons donc à demander si vous ne comprenez pas certains points dans l'histoire.

 

1. Les traditions polonaises

Les traditions polonaises concernent essentiellement l'histoire d'Alexey

Les polonais sont en général très fiers d'être polonais, ou plus généralement d'être slaves. Dans leur plus grande majorité, les peuples slaves (Europe de l'Est) échangent beaucoup de points communs, comme leur fierté géographique : contrairement à l'Europe de l'Ouest, où par exemple les français sont français avant d'être européens, les peuples d'Europe de l'Est sont slaves avant toutes choses. Les peuples slaves partagent aussi une grande hospitalité.

Pour revenir aux polonais, ils sont donc pour la plupart patriotes, bien qu'en général individualistes. Ils partagent aussi des liens familiaux très importants (solidarité familiale), où les relations père/fils mère/fille sont très nombreux.

Par ailleurs, à l'inverse de nos pays latins, les polonais sont plutôt réservés. Entreprenant, peu pris par le temps, ils se préoccupent plus du fond de leur discours que de la forme (ils accordent plus d'importance à ce qui est dit qu'à la manière dont on le dit). Ils aiment aussi participer à de grands débats politiques ou sociaux.

Comme je l'ai dit plus haut, les polonais sont accueillants et chaleureux. A l'image du bon slave, ils aiment les repas arrosés, qu'ils savent très bien faire partager à leurs invités. Dans le même ordre d'idée, ils aiment beaucoup l'alcool, la vodka (ou wodka) en particulier, qui constitue une grande partie de leur patrimoine. En effet, il existe plus de 80 types de vodkas en Pologne (officiellement) qui peuvent tirer jusqu'à 90° ; la vodka polonaise la plus connue étant la Zubrowka dont vous entendrez parler dans l'histoire l'Alexey.

 

2. Le Sari, tenue traditionnelle en Inde

Les traditions indiennes concernent essentiellement  l'histoire de Djeffh

Durant l'épilogue de Djeffh, on apprend que Shrila, d'origine Indienne, porte un Sari.

En Inde, le sari est un vêtement traditionnel porté par les femmes.

Cette tenue date d'il y a plus de 2000 ans, et est toujours porté par des millions de femmes Indiennes (et Srilankaise)  aujourd'hui.

Le sari est une large bande de tissu d'environ 1,20 m de large sur 5 à 6 m de long. Sa technique de drapé varie selon les régions, les castes, les activités, les religions, etc.
Le sari se porte sur un jupon et un corsage serré laissant le ventre nu. Il est fait d'une pièce, et il n'est habituellement porté que par les femmes mariées car c'est l'un des six signes du mariage au Sri Lanka et en Inde.

Dans l'épilogue de Djeffh, pour notre histoire, ceci pourrait laissé penser que Shrila est mariée.

 


 


31/01/2014
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